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Partie 1 le cauchemar
Seule, assise, en plein milieu d’une forêt, la plus belle que j’avais jamais vu.
Les arbres y étaient d’une hauteur, qui dépassaient largement la distance maximum ou pouvait voir mes yeux.
Ils étaient tous magnifiquement habillés de feuilles d’une couleur éblouissante.
Le vent qui sifflait sur celle-ci, laissait tomber de petites gouttes d’une pluie sûrement récente, car le sol était encore humide.
Un magnifique tapis d’herbe dormait sous mes pieds, il était parsemé de grosses pierres, recouverte de mousse dont la douceur m’était inexplicable.
Pourtant derrière la beauté, de cet endroit, j’étais terrifiée, comme paralysée.
Le soleil qui brillait, dans un ciel d’un bleu d’azur, illuminait un petit coin de la forêt que je n’avais pas encore remarqué.
En m’approchant de celui-ci, je vis qu’il n’avait rien à voir avec l’endroit ou je me trouvais.
Il était sombre, les arbres y étaient presque tous mort, sur plus de la moitié d’entre eux, les feuilles n’existaient plus.
Au sol, ce n’était plus de l’herbe douce et légèrement humide, mais une épaisse boue, dans laquelle s’enfonçait de grosses branches et d’où en sortait de gigantesques racines.
D’un seul coup, j’ai senti mon corps se glacer, et je vis au loin dans ce coin effrayamment noir, 2 points d’un rouge vif, pointé dans ma direction.
J’étais mortifiée, arrêtant presque de respirer, espérant que « cette chose » ne m’ait pas remarqué, et surtout qu’elle n’ai pas vu a quel point j’avais peur.
Je décidais de me ressaisir, et de réfléchir, mais même mon cerveau était gelé de peur, au fur et à mesure que j’essayais de me concentrer, je remarquais que la paire d’yeux rouge n’était plus la où je l’avais vu en premier lieu, mais qu’elle c’était considérablement avancée.
La panique envahissait tout mon corps, devrai-je courir ? Non, je ne savais même pas ou j’étais.
Je n’étais plus sûr de rien, la seule chose donc j’étais persuadée, était que si je restais la, j’allais sûrement y laisser ma vie.
A l’instant même ou ses mots résonnaient dans ma tête, je vis « cette chose » se jeter sur moi, par pur réflexe, mais surtout sans réfléchir, je fermais mes yeux, et me cachais le visage dans mes bras.
Quand j’ouvris enfin les yeux me croyant morte, je me rendu compte que j’étais dans mon lit, et que tous cela n’étais qu’un horrible cauchemar.
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Commentaires
1sissi13Lundi 3 Août 2009 à 18:27Merci très gentilRépondreMerci très gentil3SchelbyLundi 3 Août 2009 à 19:11Wiiiiiii pourquoiWiiiiiii pourquoi5SchelbyLundi 3 Août 2009 à 19:36Comme ?6nanamangasVendredi 14 Août 2009 à 15:42merci très sincèrementmerci très sincèrement
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